dimanche 1 janvier 2017

01 de l'an... 2017

Nos voeux pour 2017....... Toujours plus, gaffe aux illusionnistes !



Dessin emprunté au message des Editions de l'Atelier Libertaire de Lyon pour les voeux de nouvelle année. L'ACL qui propose d'ailleurs de très bonnes lectures....

2 commentaires:

patrick a dit…

Voui ! Bonne et heureuse à toute l'équipe !!
et mort aux cons !!!

Anonyme a dit…

- Contre cette année d'élections pestilentielles (et d'illusions menaçantes, en effet)rêvons d'une année de luttes et d'amitiés militantes Camarades !
- Bonne nouvelle ce mardi, mais malheureusement imputable seulement à la "grande faucheuse" et non au coup de balai de femmes et hommes révoltés: un des miliciens les plus servile du patronat CHEREQUE (digne héritier de son père) a cassé sa pipe.
Célébré par toutes les crevures de ce monde capitaliste pourrissant, il est mort d'une "pénible et longue maladie" qu'il a délibérément propagée à toute la société salariale en multipliant ses relations avec d'innombrables "partenaires".
Cette "pénible et longue maladie" c'est la collaboration de classes (dénommée frauduleusement pour en dissimuler les ravages:"réformisme").
Les personnes infectées par ce virus,loin de réagir aux agressions dont elles sont "l'objet" collaborent au contraire activement, peu ou prou, à la destruction de leurs propres conditions d'existence. On est loin d'en avoir fini avec elle !!!

-- N.B. qu'on se le dise!-
Humaniste et révolutionnaire, les seuls ennemis que je me reconnaisse ce sont les exploiteurs, oppresseurs de toutes obédience, les capitalistes, leurs clones et affidés de tout poil. Mais même pour ce qui les concerne, je ne leur souhaite ni souffrance ni mort, je veux seulement qu'ils soient mis hors d'état de nuire; cela suppose, condition nécessaire mais non suffisante, d'en finir avec cette Société capitaliste qui, structurellement,les engendre et les célèbre.
C'est donc parce que CHEREQUE n'aura cessé d'être jusqu'au bout le larbin fanatique et cynique de cet ordre odieux, que lorsqu'on parle(ra) de lui mort aujourd'hui, comme vivant hier, ce sera toujours sous le sceau de notre colère et de notre mépris.