Si on doit attendre qu’il n’y ait plus d’épouvantail pour renoncer à l’illusion électorale, ça peut prendre des millénaires : il y a toujours eu, il y a toujours, il y aura toujours, un ou plusieurs candidats « pire que les autres » « futur Fureur ».
A ceux qui croient qu’accepter de choisir son maître « ça mange pas de pain » je conseillerais la lecture de Mirbeau (« La Grève des électeurs ») :
« Les moutons vont à l’abattoir, ils ne se disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. Mais, du moins, ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, et pour le bourgeois qui le mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des révolutions pour conquérir ce droit. »Depuis la Commune de 1871 , la bourgeaille rafle la mise
C'est un système mis en place par les dominants capitalistes qui ne perdent jamais ,comme le proprio du casino
Hugues Aufray sur une télé a laché "on devrait avoir une instruction publique et pas une éducation nationale "
Le catéchisme ripoublicain a intoxiqué le "si toi rien"
Les urnes ne sont que funéraires , pratiquer l'isoloir ,car il faut se cacher pour urner alors qu'il faudrait chier sur les bourges de 5 clous ou du touquet
qui ne sont rien d'autre que de la vermine poutinienne
